• Carmélites
    therese

    Les Carmélites

    Aux 12ème siècle, s'inspirant du prophète Élie, des ermites vivent dans les grottes du Mont Carmel, insistant sur la prière. Au 16ème siècle, Sainte Thérèse d'Avila et Saint Jean de la Croix fondent les Carmes déchaussés.
    Aimer, c'est tout donner et se donner soi-même
    Sainte Thérèse de  l'Enfant Jésus

Carmel de Verdun

Témoignage de la surabondante Miséricorde de Dieu

                               soeur du carmel de Verdun« Réjouissez-vous avec moi ! » Lc 15, 6.9 

Voici qu'il nous est donné de vivre en Église l’année de la Miséricorde où tous nous sommes appelés à franchir la « porte de la Miséricorde ».

C’est par cette porte de la miséricorde que s’est élargi mon chemin : C’est lors de ma 1ère confession que j’ai découvert l’Amour fou de Dieu pour moi. J’avais 8 ans, maman m’y avait préparée et j’avais le cœur gros "d’avoir fait de la peine à Jésus"…

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Témoignage de vocation d'une carmélite

                               soeur du Carmel de Verdun

Avant l’âge de 18 ans jamais je n’avais envisagé le chemin de la vie religieuse, je désirais avoir une profession au service des autres, me marier et bien sûr avoir des enfants. Et puis les choses ont pris un autre cours…

Je suis née dans une famille pratiquante plus par tradition que par véritable foi vivante et arrivée à l’adolescence, j’ai laissé tout tomber… En gardant cependant, dans le fond,  une certaine foi en Dieu, avec des interrogations, une quête... Mais Dieu restait pour moi un Etre lointain, qui ne changeait pas grand chose à ma vie : Lui devait me chercher sûrement  plus que je ne Le cherchais… Et puis ce fut la rencontre, en ma 18ème année justement, au cœur de la plus sombre période de ma vie où il ne m’était même pas venu à l’idée de me tourner vers Lui…

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Témoignage d'un appel au Carmel

                       soeur du carmel de Verdun

Cela fait 55 ans et quelques mois… Je me revois dans l’élan de mes 20 ans, gaie comme un pinson, irréaliste au possible des difficultés qui m’attendaient, mais follement éprise de mon Seigneur...

Il était tout pour moi, Il m’a aidée à tout traverser et c’est bien sûr à cause de Lui et pour Lui que je suis restée. Après toutes ces années, passées au carmel,  je suis restée la même tout au fond, portant en moi une immense dette de gratitude envers le Seigneur, mais aussi vis à vis de mes racines, mes sœurs, et tous ceux et celles qui m’ont aidée. J’ai été bien émondée, l’idéalisme, voire l’exaltation des débuts se sont envolés… Ils ont été remplacés au fil des années par une gratitude sereine qui ne me quitte pas, le regard de plus en plus tourné vers les affamés et assoiffés de Justice et de Paix. « Rien, rien, rien, non je ne regrette rien… » chantait Edith Piaf. Sr B de R

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