Profession solennelle au Carmel de Surieu
Sœur Dominique de la Résurrection
“Enfin après un long chemin qui peut comprendre ? Je suis à toi pour toujours et à jamais. Tu daignes te pencher sur la moindre de tes créatures, tu me tends la main – Je veux ne jamais la lâcher. Ce que je possédais est désormais néant à mes yeux. Sans bruit, j'ai laissé derrière moi ce que j'aimais jadis. Je te livre entièrement ma volonté, elle est à toi, prends tout, je te le donne pour toujours.”
Édith Stein écrivait cela en 1929. Un texte que je découvrais quelques années après mon entrée au Carmel.