L'obéissance, de l'infantilisme ?
Pour moi, alors étudiante à la Sorbonne, à Paris, obéissance était synonyme d’infantilisme. J’aimais passionnément mes études et je cherchais à développer mes dons, à épanouir ma personnalité en vue d’avoir une vie riche et féconde.
Obéir ?
Se soumettre ?
Dépendre d’autrui ?
Quel sens pouvaient bien avoir ces attitudes pour une personne équilibrée et adulte ? Cela ne m’intéressait guère, jusqu’au jour où…