• Cisterciens
    bernardgabriella

    Les Cisterciens

    A Cîteaux en Bourgogne fut fondé le premier monastère cistercien au 12ème siècle par trois bénédictins, Saints Robert, Albéric et Etienne. Des Sœurs firent de même à l'abbaye de Tart. La simplicité est une valeur qui leur est importante.
    La mesure d'aimer Dieu, c'est d'aimer sans mesure
    Saint Bernard

Abbaye de La Coudre

Je me suis décidée à répondre à l'appel

Témoignage d'une Soeur de LavalJe viens d’un milieu rural, catholique pratiquant. Mes parents étaient en ferme. Enfant, j’aimais aller à l’église de mon village ; je disais alors que je voulais être « sœur » quand je serai grande. Mais à l’adolescence je n’en parlais plus !
J’ai travaillé tôt, comme aide-soignante, pendant plusieurs années. C’est vers 18-19 ans que j’ai commencé à fréquenter un groupe de prière, et dès la première rencontre, l’appel à suivre Jésus dans la vie religieuse s’est réveillé en moi. Si je n’y ai pas mis de résistance, je n’étais pas non plus pressée d’y répondre, voulant « profiter » de ma jeunesse en faisant des expériences diverses (voyages, et surtout rencontres avec des ami(e)s). La question du mariage s’est évidemment posée plusieurs fois, mais si une part en moi était attirée par cette voie, au plus profond, autre chose m’habitait. J’ai aussi fréquenté des Foyers de charité et le Renouveau charismatique, et j’ai été très attirée par les communautés nouvelles, en particulier les Béatitudes où je suis allée vivre plusieurs week-ends et séjours.

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J'ai cheminé pour discerner ma vocation

Lavaltemoignage2aEtant issue d’une famille chrétienne, enfant, je participais à des groupes de prière, pélé… et j’aimais ça ! A l’âge de douze ans, la question de la vocation me travaillait, mais très vite, je l’ai mise de côté ! A l’adolescence, j’étais intéressée par toutes les questions sur le sens de la vie, l’homme, le bonheur… c’est ainsi qu’après le bac, je me suis passionnée par mes études de philo. La philo a réveillé en moi une soif d’absolu : celle d’aimer Dieu et les hommes. Les sorties, les amis, tout ce qui avant m’attirait, ne parvenaient pas à étancher cette soif. Inévitablement, la question de la vocation à la vie religieuse est revenue, mais je résistais.

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J'ai trouvé la réponse à ma soif d'absolu

LavalTemoignage1Je viens d’une famille chrétienne non pratiquante ...

en milieu rural, où j’ai appris l’hospitalité dans la vie quotidienne. C’est à ma grand-mère que j’ai exprimé ce désir : « Je serai sœur ». Je n’avais alors que 6 ans. Enfant, ma joie était de « servir » la messe ; et, à ma Profession de foi, est remonté en moi ce désir d’être « toute à Dieu ». L’Eglise devenait pour moi ma nouvelle famille. A 21 ans, alors que je me trouvais dans une abbaye, j’ai eu ce flash en voyant les moines : « C’est cela que je veux vivre ! » Et ce désir ne m’a jamais quittée.

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